A la lecture de « Cobain on Cobain », une chose frappe : rien dans l’avant raz de marée Nervermind ne distinguait, au fond, Nirvana des autres groupes SubPop. C’était la merde, le son sale, le repli comme salut. Et puis, et puis... Avec ce livre, on voyage. USA, Asie, Europe, de 1989 à 1994.
Détail croustillant : la sur-représentation de rock critics français : Youri Lenquette (alors à Best), Tellier (Inrocks, toujours vaillant à Télérama), la bande du fanzine Uzine.
Quant à la version française de mon article, si ça vous intéresse, elle doit être toujours disponible quelque part ici.

Comme disait Eudeline, le rock est bien mort, mais ses ongles poussent encore.