Sont notamment concernés les diplomates « avec ou sans ordre de mission », les représentants du monde économique ou financier comme les « DG de grandes sociétés, présidents de banque centrale » ou les « personnalités politiques ». Mais également, et de manière plus surprenante, les « acteurs », « présentateurs », « journalistes » et même « influenceurs ».
« En langage courant, décrypte un douanier, ça s’appelle un coup de pression. Le message est clair : si on se risque à contrôler quelqu’un de connu, il faudra rendre compte et se justifier. »
En savoir plus : Contrôles aux frontières : deux notes confidentielles mettent un « coup de pression » aux douaniers