L’utilisation de jeux vidéo a permis de mettre fin à un débat longtemps demeuré irrésolu : selon les chercheurs de l’Université Carnegie-Mellon, c’est bien l’apprentissage spatial qui modifie le cerveau, et non l’inverse.
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L’utilisation de jeux vidéo a permis de mettre fin à un débat longtemps demeuré irrésolu : selon les chercheurs de l’Université Carnegie-Mellon, c’est bien l’apprentissage spatial qui modifie le cerveau, et non l’inverse.