France Soir, hier, titrait sur la cyber-dépendance. Les mères s’inquiètent, les pères s’affolent, les psys se régalent. Un mal nous ronge. Nous sommes accros. Lui joue aux jeux de guerre (+ 50% de ventes pendant la Guerre du Golfe II aux Etats-unis) ; toi, tu surfes sans vagues et ton voisin, la lumière allumée à 3 heures du mat’ depuis qu’il s’est acheté un PC. C’est la grande solitude partagée. L’heure de l’écran total. Il fut un temps, un romancier avait dit du Net : « le Net est une perte de temps. C’est ce qu’il y a de bien ».
Mais, ce w-e, faisons exception. Je débranche. j’ai un livre à lire. J’en dis trois mots ici : brigades internationales, roman photo
Courage, surfons.