Lettre de Francesca Borri, pigiste perdue dans l’enfer syrien

Par David Dufresne, 6 août 2013 | 268 Lectures

« Dormir chez les rebelles coûte 50$ par nuit ; une voiture, 250$ par jour. Vous ne pouvez payer ni une assurance – 1000$ par mois – ni un fixeur. Vous êtes seul. »

❝Du reporter freelance, les gens gardent l’image romantique d’un journaliste qui a préféré la liberté de traiter les sujets qui lui plaisent à la certitude d’un salaire régulier. Mais nous ne sommes pas libres, bien au contraire. Rester en Syrie, là où personne ne veut rester, est ma seule chance d’avoir du boulot. Je ne parle pas même d’Alep, pour être précise. Je parle de la ligne de front. Parce que les rédacteurs en chef, en Italie, ne veulent que le sang et les « bang bang » des fusils d’assaut.❞

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