Tirée de « Pour l’abolition de la société marchande pour une société vivante » de Raoul Vaneigem (Manuels Payot, 2002) :
« J’aimerais assez que les ennemis de l’affairisme s’épargnent le ridicule d’appeler “nouvelle économie” la phase terminale d’un capitalisme qui n’investit plus que dans le circuit financier et bousille tout, y compris sa propre survie, pour accumuler sur le néant de l’être et de l’univers la manne hypertrophiée du profit vite et mal acquis ».