Il reste certes le maigre espoir que le cerveau s’habitue, que la technologie progresse, que les produits s’affinent. La réalité virtuelle, aujourd’hui, est aussi agréable que de se frapper la tête avec une enclume, mais, demain, ce sera un oreiller de plaisir et d’envol, promettent les industriels. Bof. Après plusieurs heures de torture mentale, et d’expériences même pas folichonnes, on n’espère qu’une chose : que la Silicon Valley passe à une nouvelle lubie, de préférence moins absurde.
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