Le Web 2.0 , vu par Edward Bilodeau, et traduit en Français par omacronides.com :
Les utilisateurs fournissent les données (qui appartiennent ensuite à la compagnie).
Les utilisateurs fournissent les métadonnées (qui appartiennent ensuite à la compagnie).
Les utilisateurs construisent l’application (qui appartient ensuite à la compagnie).
Les utilisateurs payent la compagnie continuellement pour avoir le droit d’utiliser l’application qu’ils ont construit pour accéder et manipuler les données qu’ils ont fournit.
Messages
15 avril 2006, 19:13, par Tristao
J’adore cette définition. Un délice, surtout quand on voit les plateformes « contributives » qui naissent tous les jours (cf techcrunch) et les conditions contractuelles quasi abusives qu’elles imposent unilatéralement. Droit de reproduction, d’exploitation, de commercialisation, voilà notamment ce que s’octroient d’office la plupart des services « contributifs » sur les oeuvres uploadées. Pas très sharefriendly pour des plateformes de partage... Discussion : pour moi, ça n’est pas tant le terme web 2 qui est en cause, que l’abus de l’esprit de partage (ou sa marchandisation). Pour se détendre : Il y a aussi des moments furtifs où le système se grippe. ;)
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16 avril 2006, 16:27, par Tristao
J’adore cette définition :) Surtout quand on voit le nombre de sites de ce type qui naissent tous les jours ou presque (cf techcrunch) et les conditions oiseuses des contrats qu’ils nous imposent. Partager sur ces plateformes, c’est tout simplement, et la plupart du temps, céder ses droits. Sur le terme web2, ça n’est pas tant lui qui me pose problème que l’abus commercial qui est fait de l’esprit de partage. Aparté : Et puis il arrive parfois que la machine se grippe. ;)
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