« le virus informatique comme modèle métaphorique pour une poétique sévèrement séditieuse. Le virus permet d’imager quelques propriétés convoitées : l’invisibilité (anti-esthétique), la prolifération en réseau (hors lieux artistiques), l’adaptabilité (selon les contextes-cibles), l’action directe et rapide sur le monde, la capacité positive de transformer ou détruire rapidement les systèmes symboliques-actifs de la communication et de l’information orthodoxes. »
Christophe Hanna, revue Nioque cité dans Libé du jour.